Ena Sorevir a écrit quelques unes des histoires qu'elle aimait à raconter à son fils quand il était jeune. C'est un pot pourri de contes ou de fables, puisqu'il y a toujours une petite allusion à des faits de société. Ces contes se passent dans des domaines différents. L'un nous emmène à l'hôpital pour déjouer les peurs des blouses blanches, l'autre vers les envies d'être un peu trop vite grand, un autre cherche à désacraliser ce que beaucoup pensent être la vie, un est une parabole contre les racismes et les intolérances, enfin le dernier nous entraine vers un voyage à la fois réel et affectif.