Un riche jeune homme de noble origine prend pitiĂ© dâune jeune orpheline qui ramasse des cendres devant la boutique dâun apothicaire. Le jeune aristocrate va placer cette Lisette chez une dame fortunĂ©e et veiller de prĂšs Ă son Ă©ducation.
La derniĂšre phrase (un post-scriptum) : « Ce mariage est le plus heureux quâon puisse imaginer. Lise est prĂ©cisĂ©ment Ă lâĂ©gard de son mari ce quâil faudrait que fussent toutes les femmes : lâĂ©lĂšve, la fille chĂ©rie, en un mot lâouvrage de son Ă©poux ».