Rodolphe, personnage mystérieux au début du tome 1, s'attelle à rétablir une forme de justice sociale dans le Paris du xixe siècle. Il croise donc des travailleurs pauvres aussi bien que des criminels, voulant récompenser les bons et punir les méchants.
Le début de la deuxième partie : « La maison que possédait Rodolphe dans l’allée des Veuves n’était pas le lieu de sa résidence ordinaire. Il habitait un des plus grands hôtels du faubourg Saint-Germain, situé à l’extrémité de la rue Plumet.
Pour éviter les honneurs dus à son rang souverain, il avait gardé l’incognito depuis son arrivée à Paris, son chargé d’affaires près de la cour de France ayant annoncé que son maître rendrait les visites officielles indispensables sous les nom et titres de comte de Duren.
Grâce à cet usage fréquent dans les cours du Nord, un prince voyage avec autant de liberté que d’agrément, et échappe aux ennuis d’une représentation gênante.
Malgré son transparent incognito, Rodolphe tenait, ainsi qu’il convenait, un grand état de maison. Nous introduirons le lecteur dans l’hôtel de la rue Plumet le lendemain du départ du Chourineur pour l’Algérie. »
Source: https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Myst%C3%A8res_de_Paris/Partie_II