Préface écrite et lue par Elsa Zylberstein
Un amour total, désintéressé, tapi dans l’ombre, n’attendant rien en retour que de pouvoir se dire. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine d’abnégation et de folie. La voix d’une femme qui se meurt doucement, toute entière tournée vers celui qu’elle vénère. Ici, nulle “confusion des sentiments” : la passion est absolue, sans concession, si pure qu’elle touche au sublime.
Léa Drucker met toute sa sensibilité dans une incarnation parfaite de « l’ inconnue ».