À Paris comme en Espagne, le chevalier de Pardaillan se bat sans relâche. La capitale Française est encerclée par l'armée du roi d'Espagne, Philippe II. Celui-ci rêve de voir la ville tomber, et ainsi devenir roi de France. Si Henri IV désire garder son trône, il doit éliminer l'ennemi à sa source. Il envoie sur le champ le chevalier de Pardaillan en Espagne. La rapière de Jean cinglera dorénavant à Séville.
Mais alors que Fausta devait être condamnée à mort à Rome pour ses méfaits, elle s'est échappée et prend part au complot espagnol.
Cette fois, Fausta a un moyen redoutable pour faire pression sur Jean : elle a mis au monde en prison le fils de Pardaillan...
Dans cette période du XVIe siècle où les guerres de religion font rage, le chevalier Pardaillan prête son épée à qui bon lui semble juste. Aidé dans sa lutte par un Cervantès qui voit en lui Don Quichotte, Jean devra changer le cours de l'Histoire.
Combattant hors-pair, inflexible et intelligent, Pardaillan est un héro d'exception. Il n'abandonne jamais face au danger, sait user de son épée quand il le faut, et défend toujours les bonnes causes. Tel est le personnage principal d'une série intemporelle ; un héro dont chaque génération éprouve le besoin.
En digne successeur d'Alexandre Dumas, Michel Zévaco offre dix tomes remarquables, partagés en cinq cycles. Romans de cape et d'épée riches en péripéties, mais aussi coulisses de l'Histoire et fresques des convictions libertaires de son auteur, la série est encore aujourd'hui une épopée à ne pas manquer.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l’État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».