Extrait : "Nous étions loin d'espérer qu'un publiciste fameux, qu'un député célèbre, enlevé trop tôt aux lettres et aux débats parlementaires, Benjamin Constant, dût payer aussi son tribut au livre des Cent-et-Un. Les portraits qui suivent, échappés de sa plume spirituelle, nous les devons à une illustre amitié. L'original en est déposé dans nos mains. À ces souvenirs posthumes était jointe une lettre autographe du président Jefferson à madame de Staël..."