« En février 2017, au cours d’un prime de Touche pas à mon poste !, un internaute m’a posé une question très personnelle, intime, à laquelle j’ai décidé de répondre. Dire la vérité était une évidence, et j’en étais là de l’existence : arrêter de me cacher, de m’anesthésier, de fuir. Assumer mon désir plus fort que tout d’avoir un enfant et me dresser pour vivre avec mes bleus, mes bosses, mes peurs. Mon cri venait du ventre. En parlant de mon endométriose, la maladie avec laquelle je cohabite depuis dix ans, j’ai rompu la loi du silence. »
À l’aube de la quarantaine, Enora Malagré jette un regard franc sur son parcours et lance un cri d’espoir pour toutes les femmes, les mères et celles qui ne le sont pas.