Xenia Ossoline

Des dĂ©combres de Berlin aux gratte-ciels de Manhattan, des ravages de l’aprĂšs-guerre Ă  l’euphorie des annĂ©es 1950. Dans le prolongement de « La Louve blanche », « Tous les rĂȘves du monde » est pris dans les tourments de l’Histoire. Au cƓur des mensonges et des Ă©garements d’une gĂ©nĂ©ration maudite, quatre adolescents osent partir en quĂȘte de leur vĂ©ritĂ© tandis que Max et XĂ©nia tentent de recoller les morceaux d’une histoire d’amour tourmentĂ©e. Pour tous, c’est du chaos que viendra la renaissance, du dĂ©sordre que naĂźtra l’espoir. 1945, la Seconde Guerre mondiale prend fin, Berlin est en ruine. L’énigmatique Xenia FĂ©odorovna Ossoline dĂ©cide de rejoindre la capitale allemande, dĂ©terminĂ©e Ă  retrouver Max von Passau, son amour de toujours. Elle retrouve un homme transformĂ© par la guerre. Pour les hĂ©ritiers d’une Europe dĂ©vastĂ©e, c’est un cadeau empoisonnĂ© que leur a laissĂ© leurs aĂźnĂ©s. Axel cherche comment admettre que son pĂšre est un criminel nazi, tandis que Natacha dĂ©couvre que son pĂšre n’est pas celui qu’elle croyait. FĂ©lix et Lili, les enfants de Sarah Selighson, disparue Ă  Auschwitz, doivent ainsi faire face Ă  la terrible rĂ©alitĂ© de la shoah. XĂ©nia parviendra-t-elle Ă  rĂ©veiller Max de son apathie et le convaincre de la suivre ? Felix rĂ©cupĂšrera-t-il le magasin familial rĂ©quisitionnĂ© par les nazis pendant la guerre ? Et sa sƓur Lili, profondĂ©ment marquĂ©e par la disparition de sa famille, finira-t-elle par comprendre le besoin qu’a son frĂšre de reconstruire sa vie Ă  l’endroit mĂȘme oĂč elle aurait pu s’arrĂȘter ? « Theresa RĂ©vay se rĂ©vĂšle ĂȘtre une excellente technicienne du roman populaire, avec ce supplĂ©ment d’ñme qui fait la diffĂ©rence. » Le Nouvel Observateur « Avec La Louve blanche, Theresa RĂ©vay signe une Ă©popĂ©e cauchemardesque proprement captivante. » Le Figaro magazine « Il y aura une suite. On l’attend avec impatience. » Madame Figaro A travers la presse : « Le nouveau roman de Theresa RĂ©vay entrelace la grande et la petite histoire avec un sens innĂ© du romanesque. [….] Avec cette vibrante fresque historique, le grand roman populaire retrouve ses lettres de noblesse. » Femmes « On est emportĂ© par cette fresque bien documentĂ©e, Ă  travers une pĂ©riode de l’histoire qui ne cesse de nous interroger. » Prima « L’auteur, qui n’aime rien tant que l’espace, le mouvement, l’entrecroisement des tissus sociaux et des Ă©poques, l’enchevĂȘtrement des chairs et des impairs, multiplie les surprises dans ce roman oĂč tombent progressivement les masques de ses hĂ©ros sans cesse secouĂ©s et ballotĂ©s par l’Histoire. […] Du grand roman populaire, cousu main. » Le Figaro magazine Theresa RĂ©vay a de la suite dans les idĂ©es et beaucoup de talent pour les exprimer. Elle noue et dĂ©noue les destinĂ©es des hĂ©ros de la Louve blanche, son prĂ©cĂ©dent roman, sans laisser de rĂ©pit Ă  son lecteur, qu’elle transporte d’un Paris grisĂątre Ă  un Berlin lugubre." Figaro Madame « Theresa RĂ©vay entraĂźne le lecteur Ă  sa suite. Elle bouleverse et fait revivre, avec un rĂ©el talent dÂ’Ă©crivain et une belle pudeur, les annĂ©es suivant la libĂ©ration. Un remarquable roman populaire qui rĂ©concilie avec al littĂ©rature. » ActualitĂ© de l’Histoire « C’est efficace, et nous touche pour sa sincĂ©ritĂ©, son sens du rĂ©cit Ă©pique, et son habille agencement narratif. » La voix du luxembourg (PRESSE ) Theresa RĂ©vay est une Ă©crivaine et traductrice française nĂ©e en 1965. Suite Ă  des Ă©tudes de lettres, elle se tourne vers la traduction de livres anglais et allemands. Elle publie son premier livre « Valentine ou le temps des adieux » en 2002, suivi de « Livia Grandi ou le Souffle du destin » (2005) puis « La Louve Blanche » (2008). Elle connaĂźt vite le succĂšs et s’impose rapidement comme une des romanciĂšres majeures des fresques historiques. PassionnĂ©e d’Histoire, elle nous transporte dans l’intimitĂ© de grandes familles europĂ©ennes devant faire face au contexte incertain du XXe siĂšcle. Traduite dans de nombreuses langues, certaines de ses Ɠuvres lui valent de prestigieux prix comme le prix Historia en 2014 avec « L'Autre rive du Bosphore » ou encore le prix Simone Veil en 2017 avec « La vie ne danse qu'un instant ».