En Bactriane, un bel et jeune étranger, Arsace, éblouit la cour de la reine Isménie par sa valeur. Aspar, l’eunuque Premier Ministre, sollicite ses confidences ; Arsace entame alors un long récit. Il raconte ses amours avec son épouse Ardasire en Médie, interrompues par un mariage imposé avec la princesse de Médie, qu’il refuse ; et comment il s’enfuit alors avec Ardasire, qui a essayé de le tuer pour ne pas le perdre. Arsace et Isménie est un roman très peu connu de Montesquieu. L’histoire de la rédaction d’Arsace et Isménie est conjecturale, mais Montesquieu en a suffisamment parlé pour qu’on puisse espérer la reconstituer. L’ouvrage serait né des sollicitations de Mlle de Charolais (lettre à Barbot du 8 septembre 1742) — mais il lui permet de reprendre un passage plus ancien, venu de l’Histoire véritable. Montesquieu semble l’avoir repris seulement quand il croit L’Esprit des lois achevé, à l’été 1747.
Notes sur l’Angleterre
- Montesquieu
bookÉloge de M. De Montesquieu par M. De Maupertuis
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bookLettres familières
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bookDialogue de Sylla et d’Eucrate
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bookVoyage à Paphos
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bookPréface aux œuvres diverses
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bookLysimaque
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bookEssai sur le goût
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