Toujours sur le qui-vive, Colette tissa la toile de ses écrits entre délices de l’enfance, fascination de la nature, amour de la vie et outrage à la morale bourgeoise. Au fil de ses livres, une fois Claudine dégourdie, elle reprend inlassablement les mêmes motifs, tisse une toile qui a pour cœur la figure de sa mère et dont elle ne s’éloigne méthodiquement que pour mieux y revenir, par le biais des animaux, des menues aventures du quotidien, ou de quelques épices scandaleuses.
Son univers
Sa modernité
Son influence
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