Loin d’avoir été affaibli par l’effondrement de la finance mondiale, en 2008, le néolibéralisme en est ressorti plus fort que jamais—avec les conséquences désastreuses que l’on connait pour le Québec. Comment se fait-il que le mouvement syndical ait été incapable de tirer profit de cette conjoncture historique? Gabriel Nadeau-Dubois émet ici quelques pistes de réflexion, tirées de son texte paru dans Renouveler le syndicalisme. Pour changer le Québec (Écosociété, 2015).