Il y a bien longtemps, le calife Alraschid et son vizir Giafar avaient retrouvé le coupable du meurtre d'une jeune femme dont on avait retrouvé les morceaux dans un coffre. Il s'agissait de son mari.
Tout avait commencé après leur mariage. Sa femme était tombée malade, et pour aller mieux, elle demanda à son mari de lui trouver des pommes. Il se démena pendant quinze jour, et ramena finalement des pommes de Balsora, payées au prix fort.
Quelques jours plus tard, il aperçut un esclave avec une pomme dans la main. Surpris, le mari lui demanda où il l'avait trouvée. Selon l'esclave, la pomme lui avait été offerte par son amoureuse, une jeune femme malade depuis quelques temps...
Immergez-vous dans les contes éblouissants de Shéhérazade qui ont été source d'inspiration pour de nombreuses adaptations cinématographiques et télévisées, notamment la série d’animation française « Princesse Shéhérazade » (1996) et le film « Les Mille et Une Nuits » (1990) avec Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot et Catherine Zeta-Jones.
Qui n'est pas familier avec les histoires d'Aladdin, Ali Baba ou Sindbad parmi tant d'autres ? Monument hors pair de l’art de la narration, « Les Mille et Une Nuits » est un voyage incontournable vers le monde de la mythologie arabe. À travers de ses aventures et périples fantastiques, les histoires populaires de ce recueil illustrent de façon inoubliable les mœurs et les usages des peuples du Moyen-Orient. Traduites pour la première fois par l’orientaliste français Antoine Galland, elles n’ont jamais cessé de fasciner l'imagination de différentes générations pendant des siècles.
Ces contes ont été source d’inspiration pour la littérature, la musique, l'art et le cinéma partout dans le monde.
Monument hors pair de l’art de la narration, « Les Mille et Une Nuits » est un voyage incontournable vers le monde de la mythologie orientale. À travers ses aventures et périples fantastiques, les histoires populaires de ce recueil illustrent de façon inoubliable les mœurs et les usages des peuples du Moyen-Orient. Traduites pour la première fois par l’orientaliste français Antoine Galland (1646-1715), elles n’ont jamais cessé de fasciner l'imagination de différentes générations pendant des siècles.