Je hais Septembre ! Ces trente jours-là et moi ne sommes pas faits pour cohabiter et je sais que j’ai tout à redouter de cette période calendaire tant que je n’ai pas eu ce que ma grand-mère appelait « l’emmerdement, l’emmerdement-surprise et la grosse emmerde ! ». Dans la finesse d’analyse de ce trait, j’ai toujours voulu voir une consolation d’ordre génétique à mes brouilles automnales. J’ai aussi quelques contentieux avec son compère Mars et, même si Janvier ou Juin sont plus aimables, après quarante ans de fréquentation des quatre saisons, et autant de générations, il m’a semblé grand temps de leur régler leur compte ! À tous !