Cette nouvelle vénitienne, dont l'auteur nous garantit la vérité de l'histoire, est parue dans la Revue de Paris en 1832.
« Je suis aimée ! se disait-elle. Et sa tête se relevait avec orgueil... elle regardait avec bienveillance tout ce qui l'entourait ; cette mer, ces vaisseaux, ces palais, toutes ces merveilles de Venise, tout lui était cher... Cette ville qui l'avait adoptée, dont elle était l'idole... elle l'aimait ; car son cœur était non seulement noble et bon, à la Zerbi, mais son âme était faite pour comprendre et sentir les sentiments élevés. »
image de la vignette :
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Source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57786947/f24