« Oh ! je ne souffrirai jamais cela. Un coup frappé sur Flore m'atteindrait au cœur. Mais c'est pourtant la seule manière de gouverner les femmes et les chevaux... Je connais les femmes, j'en ai payé une qui m'a coûté plus cher que Flore ne vous coûtera jamais !... Aussi m'a-t-elle appris à me conduire comme il faut pour le reste de mes jours avec le beau sexe. Les femmes sont des enfants méchants, c'est des bêtes inférieures à l'homme, et il faut s'en faire craindre, car la pire condition pour nous est d'être gouvernés par ces brutes-là ! »
Les Rivalités : Le Cabinet des Antiques
Honoré de Balzac
bookLes Rivalités : La vieille fille
Honoré de Balzac
bookLes Parisiens en province : L’illustre Gaudissart - La muse du département
Honoré de Balzac
bookLes Célibataires : Pierrette - Le curé de Tours
Honoré de Balzac
bookLes Célibataires : La Rabouilleuse
Honoré de Balzac
bookIllusions perdues - Troisième partie : Les souffrances de l’inventeur
Honoré de Balzac
bookIllusions perdues - Deuxième partie : Un grand homme de province à Paris
Honoré de Balzac
bookIllusions perdues - Première partie : Les deux poètes
Honoré de Balzac
bookAlbert Savarus
Honoré de Balzac
bookLa vendetta - Une double famille
Honoré de Balzac
bookModeste Mignon
Honoré de Balzac
bookUn début dans la vie - La bourse
Honoré de Balzac
book