Le Journal d'un homme de trop

Tchoulkatourine, un homme encore jeune et malade, voit sa vie s’éteindre progressivement. Il consacre ses derniers moments à en retracer les événements marquants dans son journal intime. Il esquisse ainsi le tableau de la société provinciale russe du milieu du XIXe siècle, où il espère trouver l’amour.

La plume de Tourgueniev, à la fois sobre et poétique, retranscrit avec une précision remarquable la fragilité de l’existence à l’orée de la mort dans ce roman à la fois dense et court.

Ivan Sergueïevitch Tourgueniev (1818-1883), romancier, nouvelliste et dramaturge, a vécu entre Berlin, Saint-Pétersbourg, Londres et Paris. Il est l'un des plus grands écrivains du siècle d'or de la littérature russe. Le Journal d’un homme de trop a été initialement publié en français dans La Revue des deux Mondes, en 1863, dans la traduction de Louis Viardot en collaboration avec l’auteur. C’est cette version de référence qui est aujourd’hui reprise par les éditions Avallon & co.

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Le Journal d'un homme de trop

Tchoulkatourine, un homme encore jeune et malade, voit sa vie s’éteindre progressivement. Il consacre ses derniers moments à en retracer les événements marquants dans son journal intime. Il esquisse ainsi le tableau de la société provinciale russe du milieu du XIXe siècle, où il espère trouver l’amour.

La plume de Tourgueniev, à la fois sobre et poétique, retranscrit avec une précision remarquable la fragilité de l’existence à l’orée de la mort dans ce roman à la fois dense et court.

Ivan Sergueïevitch Tourgueniev (1818-1883), romancier, nouvelliste et dramaturge, a vécu entre Berlin, Saint-Pétersbourg, Londres et Paris. Il est l'un des plus grands écrivains du siècle d'or de la littérature russe. Le Journal d’un homme de trop a été initialement publié en français dans La Revue des deux Mondes, en 1863, dans la traduction de Louis Viardot en collaboration avec l’auteur. C’est cette version de référence qui est aujourd’hui reprise par les éditions Avallon & co.