Le royaume d'Espagne est sur le point de rentrer en guerre : Fausta cherche un nouveau roi à couronner et épouser. Cette fois, elle a jeté son dévolu sur d'El Torero, le fils secret de Philippe II, et menace d'éliminer Giralda, la fiancée d'El Torero.
Mais c'est sans compter sur le chevalier Pardaillan, muni d'une rapière et d'un courage à toute épreuve. Jamais de son vivant il ne laissera l'ambitieuse Italienne mettre à feu et à sang le pays de Cervantès et Don Quichotte !
Jamais il n'échouera, ainsi secondé dans cette lutte par le dévouement absolu d'un nain malheureux en amour, le malicieux Chico.
Ce sixième tome des aventures des « Pardaillan » offre une série de duels à couper le souffle. Fausta contre Pardaillan. Orgueil contre justice. Chico contre les chagrins du cœur. À travers des drames de cour qui rappellent la serie HBO 'Games of Thrones', Michel Zévaco laisse paraître ses convictions libertaires et sa propre définition de la justice. La suite dans « Le Fils de Pardaillan ».
Combattant hors-pair, inflexible et intelligent, Pardaillan est un héro d'exception. Il n'abandonne jamais face au danger, sait user de son épée quand il le faut, et défend toujours les bonnes causes. Tel est le personnage principal d'une série intemporelle ; un héro dont chaque génération éprouve le besoin.
En digne successeur d'Alexandre Dumas, Michel Zévaco offre dix tomes remarquables, partagés en cinq cycles. Romans de cape et d'épée riches en péripéties, mais aussi coulisses de l'Histoire et fresques des convictions libertaires de son auteur, la série est encore aujourd'hui une épopée à ne pas manquer.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l’État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».