Nouvelle traduction – Texte intégral
Pionnier de la Nouvelle pensée et de la Loi d’Attraction, Prentice Mulford nous décrit les pensées comme des choses invisibles, mais bien réelles. Extraits : « Nous ne réalisons pas à quel point nous sommes déprimés physiquement et mentalement par le festin incessant d’horreurs que nous prépare la presse quotidienne. Nous invoquons par leur lecture un certain courant de pensée, rempli de choses et d’images d’horreur et de souffrance. Nous nous connectons ainsi avec tous les autres esprits morbides et malades qui vivent et se délectent de ce courant qui ne mène pas à la vie, mais à la maladie et à la mort. (…) Si la pensée était visible, nous constaterions que ses flux se dirigent vers les gens et en repartent. Nous pourrions aussi voir que des personnes semblables sur le plan du tempérament, du caractère et de la motivation sont dans le même flux de pensées. Nous verrions que la personne d’humeur abattue et en colère est dans le même courant que d’autres personnes abattues ou en colère, et que chacun sert de batterie supplémentaire ou de générateur à cette pensée et renforce ce courant particulier. Nous pourrions voir ces forces agir de la même manière et relier les personnes pleines d’espoir, courageuses et joyeuses à toutes les autres personnes pleines d’espoir, courageuses et joyeuses. »
Prentice Mulford (1834 – 1891) était un humoriste littéraire et philosophe américain, figure de proue du mouvement de la Nouvelle Pensée. Nombre des principes qui allaient devenir la norme au sein de ce mouvement, notamment la loi de l’attraction, le pouvoir de la pensée, l’autonomie spirituelle et la guérison mentale, étaient déjà inscrits dans ses ouvrages.
