Après son itinéraire Rome-Jérusalem en compagnie de celle qui n’était plus, la marche devint pour Gérard Pasquet vitale, essentielle, moyen de se ressourcer et de se découvrir. Au point de se lancer dans un nouveau périple de dix-sept semaines, sur une nouvelle route mythique, au sol battu par les commerçants du passé : la Route de la Soie. Entre l’arménienne Erevan et l’ouzbèke Samarcande, au cours de cette parenthèse initiatique que représente tout voyage, se révèlent ainsi à l’inlassable pèlerin des paysages grandioses qui le rapprocheront toujours un peu plus du spirituel, des êtres authentiques et hospitaliers qui baliseront un cheminement géographique, culturel et intérieur.