Chaque année, avant les Fêtes, de nombreux Québécois convergent vers New York dans le but d’y vendre des sapins. Ni les nuits froides, ni les longues journées de travail, ni l’absence d’un lieu confortable pour dormir ne semblent freiner leur engouement. Notre journaliste s’est immergé, pendant cinq semaines, dans l’exigeant quotidien d’un marchand de sapins.