Après la mort de leur tante, une ancienne comédienne, Charlotte Prime et son cousin Arthur, le beau-fils de la morte, font la découverte d’une collier de perles parmi les objets personnels de la disparue. Charlotte trouve le bijou tout à fait ravissant, mais Arthur apparaît troublé qu’un homme autre que son père ait pu offrir à sa belle-mère pareille extravagance, et les deux jeunes gens conviennent qu’il ne peut s’agir là que de fausses perles. Et puisque Arthur ne sait que faire de ce colifichet, Charlotte conserve le bijou...
Cette nouvelle subtile et tendu évoque La (cruelle) Parure de Maupassant.
Traduction : Auguste Monod (1851-19?).
Source: https://archive.org/stream/s5revuebleuepoli09pari#page/73/mode/1up