L’oreille collée à la cloison, à l’instar de Pierre Louÿs, écoutez les dialogues de ces filles relatant leurs turpitudes sexuelles... ( Avant-propos de Max Obione)
« Que voulez-vous... il aime les bonnes, il en raffole, et toute la domesticité est offerte à sa lubricité. Sa passion des servantes, des cuisinières, des femmes de chambre, de ces filles, jeunes et même très jeunes, il l’assouvit sans retenue autant qu’il lui est possible.
Il l’avoue sans ambages : « J’aime les bonnes... je ne peux voir la cuisinière sans relever son tablier, ses jupes, sa chemise sale, pour lui fourrer... » (Extrait de l’avant-propos de Max Obione)
La puissance évocatrice de la littérature érotique dépasse ici l’imagerie pornographique. Pierre Louÿs, ce Janus du cœur éthéré et du cul débridé, est l’écrivain pornocratique d’une puissance littéraire évocatrice inégalée, un auteur culte, un auteur « culissime ». "Louÿs vous fait découvrir les plus sombres recoins de la sexualité, et son œuvre constitue un enfer à elle seule." (Sarah Sauquet)