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La huitième croisade : Essai historique

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Une mise en abîme des accords entre la France et la Grande Bretagne au Moyen Orient après la fin de la Première Guerre mondiale.

Ce texte d’un auteur inconnu, nommé pour la circonstance « Mort O’ Cons » paru en 1940 à Berlin, est ouvertement antisémite. Visiblement bien informé des turpitudes politiques du Moyen Orient au début du XXème siècle, l’auteur nous donne à lire une version non officielle de la création des États liée à la débâcle de l’Empire Ottoman, qui aujourd’hui encore transpire l’affreuse réalité des combats quotidiens sur place.

Ces deux Empires que furent la France et la Grande-Bretagne, même si aujourd’hui ont perdu de leur influence dans la région, sont largement responsables de l’état des lieux.

Aucun livre d’histoire dans nos écoles ne mentionne les ambitions colonialistes et l’influence des deux principaux vainqueurs de la « Grande Guerre », à peine est-il fait mention du partage des territoires allemands en Afrique, attribués quelques années auparavant.

Ce regard nouveau porté après lecture de ce texte, nous pousse à considérer que nous sommes face à un : COMPLOT !

L'auteur, inconnu, expose sa propre version du déroulé de ces grands évènements du XXe siècle.

EXTRAIT

La « Communauté » juive, ordre social particulier à la Juiverie, constitue une puissance sans scrupule pour le mal, laquelle, pendant vingt siècles, a miné la civilisation dans chaque partie du globe. Libre d’influences extérieures, elle a exercé son action, en accord avec ses propres lois arbitraires, dans la méfiance et au détriment des pays sur lesquels ses membres se sont abattus.

Sous le règne d’Auguste, des conseils politiques juifs se formèrent, dissimulant sous le manteau religieux les convoitises d’une clique toute puissante. Durant le siège de Jérusalem par Vespasien, cette clique sut gagner la faveur des conquérants romains, et fut récompensée par le gouvernement impérial, qui lui conféra un mandat pour l’administration de la Palestine, en vertu duquel la clique se constitua elle-même en corps gouvernemental avec pouvoirs absolus. Ce gouvernement fut connu sous le nom de Kahal, c’est à dire Communauté ou Commonwealth.