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Nantes, le passager du Jules-Verne : Une enquête du commissaire Anconi - 8

E-kirja


Un homme assassiné par strangulation dans un train... déclaré mort plus de quarante ans plus tôt.

Novembre 1989 : le train grand confort Jules Verne, parti de Nantes à 6 h 17, entre en gare Montparnasse à 9 h 12. Quelle n’est pas la stupeur du contrôleur lorsqu’il découvre un homme mort étranglé, dans les toilettes verrouillées de l’intérieur de la voiture 13. Selon sa carte d’identité, la victime habite à Nantes, 3 rue de l’Abreuvoir, une adresse disparue. Pire ! L’état civil déclare l’homme mort en 1943. L’autopsie écarte le suicide et retrouve des émeraudes dans son estomac !

De la chute du mur de Berlin aux bombardements de Nantes, du passage Pommeraye au pont du Généralde-la-Motte-Rouge, Anconi poursuit l’assassin de ce passager inconnu. Pas facile !

Plongez dans les limbes du passé avec ce polar historique rempli de mystères !

CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE

"Un bon polar et quand on connaît les rues de Nantes, c est hyper sympa." - Grazie1006, Babelio

"Après avoir apprécié "Sacré Bidule" j'ai voulu lire une autre roman du même auteur. Dans "Le Passager du Jules Verne" on se trouve plongé dans l'intrigue dès les premières pages. Une intrigue bien menée, un livre qu'on dévore." - Grigi44, Babelio

" J.ai beaucoup apprécié cette enquête d'Anconi qui nous replonge dans l'histoire de Nantes lors de la seconde guerre mondiale. Comme toutes les enquêtes du commissaire Anconina, on appréciera d'autant que l'on connaît les lieux, c'est un bon divertissement." - hermen, Babelio

À PROPOS DE L'AUTEUR

Médecin hospitalier, Rémi Devallière a soigné les maux les plus graves ; désormais en retraite à Pornichet, il écrit, avec passion, se plaisant à choisir les mots les plus appropriés pour ses histoires. Nouer des intrigues n’est-il pas le pendant d’une démarche médicale bien conduite ? Si les instruments de l’exercice en sont différents, le plaisir de parvenir à un résultat satisfaisant est bien le même. Et obtenir les aveux du coupable ne relève-t-il pas du même défi que poser un bon diagnostic ?