Dans la lignée du polar culturel moderne où se mêlent art et sang, André Jacques prouve à quel point nous aimons tous nous faire raconter « une bonne histoire »… surtout si elle recèle une certaine dose de suspense, de sexe et un formidable problème à résoudre.
Paru en l’an 2000, Les Lions rampants a reçu un accueil plus qu’enthousiaste des médias et des lecteurs et il entame avec brio une captivante série…
Une jeune aide-accessoiriste trouve une statuette ancienne chez un antiquaire du boulevard Saint-Laurent et, soudain, beaucoup de gens semblent intéressés par ce « lion rampant » : l’ambassade de Slavitzine, les Titans – une bande de motards criminalisés -, la police de la CUM, des groupes néo-nazis et divers services de renseignements. L’antiquaire Alexandre Jobin, retraité des Services de renseignements de l’armée canadienne, et la jeune accessoiriste Chrysanthy Orowitzn tenteront de dénouer les fils de l’énigme... pour comprendre, mais surtout pour sauver leur peau.
De Montréal à Ottawa en passant par les côtes de Charlevoix, sur un fond de guerre dans les Balkans, la poursuite et l’enquête se dérouleront dans le sang et le métal tordu.