Cette émouvante nouvelle est parue notamment dans la revue La Vie littéraire en 1900.
« Quand ils se rencontraient, elle lui rendait son salut avec un sourire grave et charmant. Je la sentais heureuse, elle si abandonnée et qui se savait perdue, je la sentais heureuse d'être aimée ainsi, avec ce respect et cette constance, avec cette poésie exagérée, avec ce dévouement prêt à tout. Et pourtant, fidèle à son obstination d'exaltée, elle refusait désespérément de le recevoir, de connaître son nom, de lui parler. »
Source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6302094m/f250.image