« Jâai vĂ©cu puisque tu voulais que je vive. Mais vĂ©cu comme je lâai appris lĂ -bas, en prenant les jours les uns aprĂšs les autres. Il y en eut de beaux tout de mĂȘme. TâĂ©crire mâa fait du bien. En te parlant, je ne me console pas. Je dĂ©tends juste ce qui mâenserre le cĆur. Je voudrais fuir lâhistoire du monde, du siĂšcle, revenir Ă la mienne, celle de ShloĂŻme et sa chĂšre petite fille. » M.L.-I.