L’Éthique publique reste au cœur de la démocratie. Mieux encore : la vie sociale, politique et professionnelle demande toujours plus d’Éthique. Comme une compétence, les citoyens exigent l’Éthique dans tous les actes publics desquels ils attendent désintéressement, droiture, dévouement, modération, circonspection, convenance, convivance, confiance, intégrité, impartialité, objectivité, équité, qualité, neutralité, humilité, bonté, beauté, honnêteté, probité, générosité, fidélité, loyauté, etc. Les citoyens réclament même du naturel et de l’habitus en Éthique. Toutes ces équivalences de la pratique professionnelle du bien sont en demande. Ainsi, une pratique active du bien, nourrie par la volonté, la confiance, autant que par l’habitude, reste une demande du présent et de l’avenir, cette ère d’après pandémie Covid-19. Le monde d’après sera éthique ou ne sera pas.
Cerner une telle nécessité éthique porte à se munir d’un outil adéquat. L’arbre a tout de l’Éthique pour en permettre la démocratisation, la compréhension et l’accès au plus grand nombre de citoyens et de décideurs en affaires, en politique, etc. L’arbre est Éthique... L’arbre n’a pas de définition, mais il est reconnaissable de partout et s’enorgueillit de son interdépendance de la nature. C’est notre modèle d’appropriation de l’Éthique; un parcours qui nous mène à la métacompétence.