Martin Michaud a connu un succès fulgurant au Québec avec ses trois premiers polars Il ne faut pas parler dans l'ascenseur, La chorale du diable et Je me souviens, qui lui ont valu de nombreux prix littéraires. Au coeur de ceux-ci, on trouve Victor Lessard, enquêteur tourmenté, rebelle, mais hautement moral du service de police de la Ville de Montréal. En novembre dernier, l'auteur a publié le quatrième volet des enquêtes de Lessard, Violence à l'origine.
Salué unanimement par la critique, le roman s'est rapidement hissé en tête des ventes au Québec. La chorale du diable Dans ce qui a tout l'air d'être un drame familial, une femme et ses trois enfants sont sauvagement tués à coups de hache. L'auteur présumé du carnage, le mari, s'est suicidé après s'être tranché la langue. Mais est-ce bien ce qui s'est passé ? Deux jours après, une alerte enlèvement est déclenchée à l'échelle de la province de Québec : une jeune fille dévoilant ses charmes sur Internet a été kidnappée.
Par qui ? Pourquoi ? Deux énigmes que vont s'attacher à résoudre en parallèle deux policiers au style rentrededans : Victor Lessard qui, sans compter les cadavres laissés derrière lui, en voit d'autres surgir de son passé, enlaidis par le temps ; et Jacinthe Taillon, son ancienne coéquipière à la Section des crimes majeurs, qui lui voue une haine infernale. Naviguant à travers le fanatisme religieux et la perversité de démons ordinaires, ils vont s'engager dans une valse à quatre temps diabolique entre Montréal, Sherbrooke, Val-d'Or et...
le Vatican. Jusqu'à découvrir le secret terrifiant de la chorale du diable.