Le jour de la Saint-Barthélemy, les Paillardan sont couverts du sang de leurs ennemis. Le vieux Paillardan a été abattu. L'épouse de Jean a été empoisonnée. Il ne vit dorénavant que pour se venger ; mais pour lors, il doit fuir Paris...
Près de vingt ans s'écoulent. Henri III a succédé à Charles IX. La princesse Fausta a été élue par un conclave et souhaite faire scission au sein de l’Église. Elle projette de faire couronner le duc de Guise et de l'épouser afin d'accéder au trône.
Mais le chevalier de Pardaillan est de retour à la capitale et il ne laissera pas un complot menacer la paix...
Alors que l'illustre Pardaillan cherche l’assassin de son épouse, il devra changer l'Histoire de sa fine rapière. Passions, drames et combats héroïques, ce troisième tome de la série des « Pardaillan » ouvre le second cycle d'une aventure de cape et d'épée, monument du roman-feuilleton.
Combattant hors-pair, inflexible et intelligent, Pardaillan est un héro d'exception. Il n'abandonne jamais face au danger, sait user de son épée quand il le faut, et défend toujours les bonnes causes. Tel est le personnage principal d'une série intemporelle ; un héro dont chaque génération éprouve le besoin.
En digne successeur d'Alexandre Dumas, Michel Zévaco offre dix tomes remarquables, partagés en cinq cycles. Romans de cape et d'épée riches en péripéties, mais aussi coulisses de l'Histoire et fresques des convictions libertaires de son auteur, la série est encore aujourd'hui une épopée à ne pas manquer.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l’État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».