« À ma main droite, une bague que je tourne et retourne de ma main gauche. C’est la bague de jade. Sous un certain éclairage, le jade devient jaune. C’est alors qu’il cesse de porter malheur pour porter bonheur. Arrivée au bout de mon récit, je contemple le bleu du ciel de juillet par-dessus les tuiles roses et romaines de la Maison de jade. Bernard m’avait dit que ce genre de toiture lui plaisait beaucoup plus que l’ardoise fine… Entre tout ce que je vois et moi viennent se glisser des images de cet homme, et tous les mots qu’il m’a dits ! » M.C.
L’héroïne de « La Maison de jade » connaît la passion, la souffrance de l’abandon, la douleur de la rupture. Elle songe à mourir. C’est la fin de l’histoire et le point de départ de la narration ; dans la force du tout dire renaît son désir de vivre.