Le père Maurice presse son gendre, veuf depuis eux ans, de se remarier :
ÂŤ Je ne suis pas dâavis que tu prennes une jeunesse. La jeunesse est lĂŠgère. Et comme câest un fardeau dâĂŠlever trois enfants, surtout quand ils sont dâun autre lit, il te faut une bonne âme bien sage, bien douce et très portĂŠe au travail. Si ta femme nâa pas environ le mĂŞme âge que toi, elle nâaura pas assez de raison pour accepter un pareil devoir. Elle te trouvera trop vieux et tes enfants trop jeunes. Elle se plaindra et tes enfants pâtiront. Âť
Source: http://fr.wikisource.org/wiki/La_Mare_au_Diable/01