Un bar perdu dans Brooklyn est au croisement des destins perdus d’une mosaïque de personnages, plus perdus, plus cruels, plus désespérés et pleins de morgue les uns que les autres.
Paru en 1964, interdit dans plusieurs pays, voici le texte le plus fort, le plus âpre, le plus acide et le plus génialement violent, stupéfiant, allumé que nous propose l’Amérique dans toute sa démesure. La lecture de Pierre-François Garel déroule un continuum de tensions et d’amertumes où l’humanité, étrangement, resplendit.