Comment expliquer que, malgrĂŠ lâaugmentation du nombre de regroupements anonymes, lâincidence des problèmes de dĂŠpendance continue Ă croĂŽtre ? Peut-on parler de succès ? Quels sont les acteurs, les idĂŠes et les dynamiques qui permettent la construction sociale du discours des AA ? Existe-t-il dâautres options Ă ce mode de gestion des problèmes sociaux liĂŠs aux dĂŠpendances qui ne considèrent pas leurs membres comme des personnes souffrant de perte de contrĂ´le sur une base permanente ?