C’est une maison dans laquelle les femmes ne se sont jamais senties bien, les familles n’y sont jamais restées longtemps. Une médium dit même y avoir ressenti une sensation d’étouf fement. Pendant des travaux de modernisation, le mur de la cave s’écroule et un corps apparaît.
Konrad enquête et met au jour des mystères anciens.
Dans le même temps il presse la police d’élucider le meurtre de son père mais il a oublié qu’à l’époque, l’enfant qu’il était avait menti, et il se retrouve soupçonné.
Toujours dans une ambiance à la Simenon et avec Konrad, un héros ici très ambigu, moyennement sympathique, noyé dans l’alcool et la solitude, un roman noir magistral dans lequel le passé et les victimes oubliées ressurgissent.
« J’aime Konrad, ce n’est pas un flic parfait, et ce n’est pas non plus un homme parfait. Mais il fait de son mieux pour résoudre des enquêtes difficiles. Alors oui je l’aime parce qu’il a des défauts. » Arnaldur Indridason