La lame des Pardaillan a fendu l'air et réparé les injustices. Pourtant, après dix-sept ans de lutte, Jean de Pardaillan doit encore se battre : de sombres troubles agitent la France.
La veille de la Saint-Barthélemy, Henri de Montmorency ferme les portes de Paris et piège les protestants venus en masse pour assister au mariage d'Henri de Navarre et de Marguerite de Valois.
Quant à Catherine de Médicis, elle s'apprête à commettre un génocide. Elle rêve d'éliminer tous les protestants du royaume, et ainsi de rétablir l'autorité de Rome pour consolider celle de son fils.
Les Pardaillan devront s'armer de rapières et de courage pour défendre les opprimés, les justes et l'amour !
Second volume d'une série de cape et d'épée riche en action, ce roman dresse la fresque d'une période troublée. Revisités, les conflits religieux qui feront rage au XVIe entre Huguenots et Catholiques s'imprègnent des valeurs libertaire de Michel Zévaco
Combattant hors-pair, inflexible et intelligent, Pardaillan est un héro d'exception. Il n'abandonne jamais face au danger, sait user de son épée quand il le faut, et défend toujours les bonnes causes. Tel est le personnage principal d'une série intemporelle ; un héro dont chaque génération éprouve le besoin.
En digne successeur d'Alexandre Dumas, Michel Zévaco offre dix tomes remarquables, partagés en cinq cycles. Romans de cape et d'épée riches en péripéties, mais aussi coulisses de l'Histoire et fresques des convictions libertaires de son auteur, la série est encore aujourd'hui une épopée à ne pas manquer.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l’État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».
