Cette sÚche et amÚre nouvelle d'Emmanuel Bove a été publiée dans la revue Demain en 1925.
« Je venais de voir, lĂ , dans le fauteuil oĂč je m'Ă©tais assis, un pauvre, un pauvre comme moi. Je n'ai pas besoin de les regarder longtemps. Tout de suite, je les reconnais. C'Ă©tait certain, lĂ , dans le fauteuil il y avait un pauvre.
â Mais entrez donc... mon ami...
Je ne répondis pas. Je comprenais tout, maintenant. M. Boudier ne m'aimait pas. C'était les pauvres qu'il aimait. »
Source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96484007/f53.image