Là où on se dépouille de toute forme d’empathie si on entreprend d’aider les plus démunis. Là où on renonce à son emploi et à sa place dans la société car on ne peut pas continuer à travailler si cela implique de détruire les nids des oiseaux.
Là où les hommes comprennent qu’il vaut mieux rester caché le plus loin possible du monde pour que la vie reste belle.
Là où la beauté ne peut apparaître que sous la pluie, à l’occasion d’une courte pause au début de la cavale.
Là où on croyait être enfin débarrassé de l’Humanité, et qu’elle parvient malgré tout à faire irruption, à l’agonie et implorante. Faut-il vraiment sauver le dernier représentant de notre civilisation ?
À travers les quatre nouvelles qui composent ce recueil, l’auteur nous présente des personnages particulièrement inadaptés à la vie en société.