Alors qu’il se repose tranquillement chez lui, loin des tracas de son métier de détective, un individu souffreteux sonne à sa porte et demande à le voir d’urgence.
Le moribond se présente en tant que journaliste et n’a d’autre but, avant de trépasser, que d’apporter à Marc JORDAN un manuscrit qu’il a récupéré, il y a fort longtemps, sur une scène de suicide et qu’il avait remisé dans un tiroir depuis sans jamais l’ouvrir jusqu’à récemment.
Ce carnet, noirci au crayon, contient la confession d’un homme qui a été mêlé à l’affaire Pranzini qui défraya la chronique judiciaire en 1887 à la suite de l’horrible meurtre de deux femmes et d’une fillette...