Christina Dalcher nous offre avec Vox un roman dystopique glaçant qui rend hommage au pouvoir des mots et du langage.
Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passĂ© sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammĂ© son pays. Mais, dĂ©sormais, mĂȘme si elle le voulait, impossible de s'exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnĂ©e Ă un silence forcĂ©, limitĂ©e Ă un quota de 100 mots par jour. En effet, le nouveau gouvernement en place, constituĂ© d'un groupe fondamentaliste, a dĂ©cidĂ© d'abattre la figure de la femme moderne. Pourtant, quand le frĂšre du PrĂ©sident fait une attaque, Jean est appelĂ©e Ă la rescousse. La rĂ©compense ? La possibilitĂ© de s'affranchir â et sa fille avec elle â de son quota de mots. Mais ce qu'elle va dĂ©couvrir alors qu'elle recouvre la parole pourrait bien la laisser dĂ©finitivement sans voix...
Anonymous
8/13/2023
TrĂšs calquĂ© sur la servante Ă©carlate de margaret atwood, pas la dystopie de lâannĂ©e mais lâidĂ©e est trĂšs intĂ©ressante.