Lorsque Victor Hugo meurt en 1884, un contemporain rĂ©sume la situation par ces mots : "Il a dĂ©sencombrĂ© lâhorizon. Parce que dĂšs que lâauteur des ChĂątiments sâattaquait Ă un genre, il paraissait rĂ©duire la taille de ses confrĂšres. Cela vaut particuliĂšrement pour Notre-Dame de Paris. Le roman historique avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© mis Ă la mode par Walter Scott, mais Hugo arrive avec la puissance de son verbe, son art des vastes synthĂšses, un sens dramatique Ă©prouvĂ©. Les rivaux sâĂ©vaporent. LâĆuvre se dresse Ă lâĂ©gale de la cathĂ©drale de pierre et rĂ©siste au temps.
Pourquoi Notre-Dame de Paris continue de se lire, de se jouer, de se chanter et de... sâenregistrer ? Parce que Notre-Dame de Paris est lâune des plus grandes Ćuvres humaines."
Qui dâautre pouvait approcher ce monument littĂ©raire quâAndrĂ© Dussollier, lecteur talentueux et reconnu ? AndrĂ© Dussollier devient Victor Hugo et nous immerge dans lâoralitĂ© romanesque dâune des plus belles histoires au monde.