Fillette ou jeune veuve, les femmes qui habitent les deux récits de Chi Zijian ont les pieds dans la terre des campagnes chinoises et les yeux au plus prÚs du ciel.
Elles aiment les tours de magie, les histoires de revenants, les nuages qui dansent dans le ciel immense.
Elles ont le cĆur grand ouvert aux rencontres et savent dĂ©couvrir le secret des plus humbles, le tendre aubier sous lâĂ©corce.
Et quand approche le moment des adieux, Ă la saison qui sâachĂšve ou aux ĂȘtres chers qui disparaissent, elles lĂšvent les yeux vers les Ă©toiles et accueillent la nuit qui vient.