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Les Pardaillan

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La France va connaître une guerre de religion sanglantes. Au château du roi, des complots menacent la paix du royaume : deux familles rivales, les Piennes et les Montmorency, luttent pour le trône.

Malgré tout, Jeanne de Piennes et François de Montmorency nourrissent un tendre amour, et ils espèrent apaiser les tensions par leur union. Mais il n'en est rien...

Quand la guerre éclate contre Charles Quint, François est mobilisé. Il confie son épouse et sa fille Loïse à son frère, Henri Montmorency. Hélas ! Henri brûle de passion pour Jeanne. Il fait enlever Loïse par le chevalier Honoré de Pardaillan pour exercer sur elle un incessant chantage.

Mais très vite, Pardaillan est traversé de remords. Il s'arme de sa rapière et se lance dans une quête des plus périlleuses : il rendra coûte que coûte la petite Loïse à sa mère. Les valeurs des Pardaillan triompheront !

Michel Zévaco dresse le décor de sa grande fresque de cape et d’épée. Ce premier tome met en scène et présente, sur fond historique, une famille de guerriers animés par la justice et l'honneur. Il ouvre un cycle qui, dès sa parution en feuilleton, a obtenu un succès considérable. Riche en drame de cour et revirements politiques, il rappelle une série de renom, Games of Thrones.

Combattant hors-pair, inflexible et intelligent, Pardaillan est un héro d'exception. Il n'abandonne jamais face au danger, sait user de son épée quand il le faut, et défend toujours les bonnes causes. Tel est le personnage principal d'une série intemporelle ; un héro dont chaque génération éprouve le besoin.

En digne successeur d'Alexandre Dumas, Michel Zévaco offre dix tomes remarquables, partagés en cinq cycles. Romans de cape et d'épée riches en péripéties, mais aussi coulisses de l'Histoire et fresques des convictions libertaires de son auteur, la série est encore aujourd'hui une épopée à ne pas manquer.

Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l’État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».