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Amour, Haine et Compassion - Tome 2 : Christiane

Livre numérique


Cinq ans plus tard…

Au terme de son projet d’initiation bouddhiste, le pazin en Birmanie, San va-t-il tenir sa promesse et revenir vivre auprès de sa dulcinée, Emma ?

De l’univers de la belle musicienne à celui de la fougueuse artisane, l’amour n’est jamais loin de la haine. Et la compassion, elle ?

C’est donc au tour de Christiane, meilleure amie et aussi belle-sœur d’Emma, de vivre son lot de tribulations. Les rapports filiaux, amoureux et professionnels sont mis à dure épreuve. Les pertes sont inévitables, les deuils… obligés : la longue maladie et le décès de sa mère, le départ précipité de son conjoint de fait de plus de vingt ans et la vente de son immeuble à Mont-Tremblant. Néanmoins, Christiane est toujours amoureuse de Jacques et se demande si son retour est encore possible.

L’adage « Jamais deux sans trois » se révèle exact et l’héroïne ne s’en laisse pas imposer pour autant, même si son passé la rattrape. C’est le chaos en elle, rien de moins. La blonde artisane saura-t-elle finalement faire la paix avec elle-même et avec sa famille dysfonctionnelle ?

Alors que la boutiquière cherche à refaire sa vie, un nouveau défi survient… un cancer du sein. Comment réagira-elle maintenant à cette nouvelle réalité ?

Christiane, Tome 2 de Amour, Haine et Compassion : Une grande leçon de courage parsemée de pardon et de persévérance.

À PROPOS DE L'AUTEURE

Marie Louise Monast est une auteure québécoise. Elle occupe le sixième rang d’une famille de onze enfants. Artiste dans l’âme, elle compose et chante depuis sa tendre enfance. C’est à l’âge de dix ans que s’éveille en elle le goût d’écrire, après qu’une religieuse ait lu une de ses rédactions devant la classe en la qualifiant de « très originale ». Elle est aussi auteure de poèmes, de nouvelles et de romans. Sa plume sollicite les valeurs du cœur et de la vie. Elle tire notamment ses inspirations du quotidien et des sciences humaines, si bien qu’elle affirme : « Si je n’ai rien à dire, ma plume se tait. »