Un père nomade qui revient au bercail après plusieurs années d’absence. Une amitié houleuse qui prend une tournure inattendue. Et deux ados qui ne savent plus où donner de la tête. Il n’y a pas à dire, l’automne s’annonce chargé pour Anouk et Gilligan. Et plutôt éprouvant…
Après le succès remporté par Des vacances à temps partiel, Élyse Poudrier nous revient avec la suite, Un automne entre parenthèses, un récit intelligent et sensible qui offre un excellent portrait des jeunes voguant entre l’adolescence et l’âge adulte. Avec ses personnages plus vrais que nature, ses émotions contenues et ses dialogues savoureux à souhait, voilà un roman à l’image des jeunes d’aujourd’hui, sans caricature ni compromis.
C’est la fin de la période estivale et le début de grands bouleversements pour les personnages du roman Des vacances à temps partiel. Anouk prépare son entrée au cégep, Gilligan découvre les hauts et les bas de la vie en appartement et, après quatre ans de correspondance assidue, Bajou a enfin l’occasion de vivre aux côtés de sa bien-aimée, puisque Lydia quitte la France pour entamer des études au Québec. Les quatre comparses franchissent de nouvelles étapes dans leur vie et, franchement, ils en sont bien heureux. En fait, tout aurait pu se dérouler pour le mieux si l’arrivée inopinée du père d’Anouk dans le décor n’était venue pimenter la sauce... Incapable de tolérer sa présence sous le même toit qu’elle, Anouk demande asile à Gilligan. Reconnus pour leurs prises de bec incendiaires, ces deux-là seront-ils capables de cohabiter, même si ce n’est que pour un court laps de temps? Les paris sont ouverts!