Il ne lit pas : il dévore. C'est d'un enfant qu'on dit cela. Mais le désir s'est prolongé. La faim, la soif, les mots. Bien sûr que l'on dévore encore, et c'est très bon. Merci pour la purée, pour le vin chaud, pour Léautaud, pour les Mustang de don Pedro, les nuits anglaises de Dickens et pour le nouveau Sempé.
Dix-huit portraits d'aliments, de moments et d'auteurs aimés.
Dix-huit textes courts et savoureux sur ces nourritures terrestres.
Ces textes mis en bouche par Jean-Pierre Cassel évoquent irrésistiblement le goût des plaisirs simples et essentiels. On les savoure comme les mots de Jean-Pierre Cassel, narrateur exquis.
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