N, toujours N, se joue des flics, les meurtrit dans leur chair, celle de leur femme, pour les punir... jusqu’où ira-t-il ?
D’habitude, j’aime bien marcher très tôt, quand le jour se lève. Pour rentrer chez moi, il n’y a que quelques rues, mais je fais un détour par la forêt pour prolonger le moment avant d’arriver dans mon immeuble par la porte de derrière. C’est aussi une façon d’être discret. Dans ce genre de petite ville, tout se sait très vite. En général, j’ai juste le temps de prendre une douche avant de commencer mon service au poste. Je repars tout de suite. Ce matin, le chemin du retour me paraît insurmontable. Il ne faut pas qu’on me voie. J’essaie de courir, je titube, je tremble. Mes jambes flanchent. [...]
Des femmes tuées à coup de poing, défenestrées, massacrées... Insupportable. N va leur montrer comment ça se passe quand ça arrive chez vous...