Étienne trouve que Mila, son amie, ressemble de façon troublante à un portrait réalisé par Amedeo Modigliani cent ans plus tôt.
C’est pourquoi il l’entraînera sur les traces du peintre à Paris, puis à Nice où Modigliani a passé les derniers mois de la Grande Guerre. Comme en écho à ce passé révolu, celui de Mila va resurgir et entraîner le lecteur jusqu’aux hivers blancs de Saint-Pétersbourg.
Dans ce nouveau roman, l’auteur de Comme un arbre sous le vent continue d’explorer le thème de l’identité à travers un mystérieux tableau et un personnage en quête de ses racines. Mais qui regardons-nous en observant un portrait qui nous dévisage ? La peur du vide est-elle plus forte que le vertige de la découverte ?