Si notre ultime liberté sur terre est celle d’aimer malgré tout et malgré soi, il nous reste peut-être un peu d’espoir, un brin de cosmos à découvrir, quelques particules d’une île déserte où féconder nos rêves les plus intimes…
Tout cela nous semble si fragile : le jour au bord de la fenêtre, le vide au bout du sens et de l’éblouissement.
Avec La fluidité des heures et, pour la première fois, à travers le poème en prose, Michel A. Thérien évoque l’inexorable besoin d’aimer et l’inévitable vertige qui l’accompagne.