En descendant d’une diligence délabrée par un soir pluvieux d’avril, la jeune veuve
Elisabeth Kerr doit recommencer à zéro. Elle est sans mari, sans titre, sans propriété et sans fortune. Le travail ne l’effraie pas et elle manie l’aiguille avec dextérité, mais comment arrivera-t-elle à recoudre les lambeaux de sa vie ? Et qui guérira son coeur, déchiré par la trahison et le mensonge? Elisabeth n’est pas venue à Selkirk seule. Sa belle-mère, Marjory Kerr, est une femme anéantie, ayant mis en terre son mari, ses fils et tout espoir d’avoir un jour des petitsenfants. Dépendante d’une cousine éloignée qui ne dispose que de maigres ressources, Marjory craint le futur presqu’autant qu’elle regrette le passé. Pourtant, la joie revient frapper à sa porte et elle rencontre de la gentillesse aux endroits les plus inattendus. Puis un héros valeureux entre en scène, rallumant une étincelle d’espoir. Risquera-t-il sa réputation pour défendre deux femmes convaincues d’avoir trahi la Couronne? Ou préférera-t-il donner son coeur à une beauté fortunée, qui n’a jamais été éclaboussée par le scandale?
Le voyage bouleversant des femmes de la famille Kerr arrive à son terme glorieux
dans La nuit m’appartient, un joyau resplendissant de rédemption et de renaissance, serti dans l’Écosse du dix-huitième siècle.